Congé et décès d’un proche : que faut-il savoir ?

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Selon le Code du travail, tout salarié a le droit de demander un congé particulier en cas de décès d’un proche, surtout si celui-ci fait partie de la famille. Quoi qu’il en soit, la durée du congé varie en fonction de la relation partagée avec le défunt et surtout du secteur servi par l’employé (public ou privé). Dans la suite de cet article, découvrons ensemble ce que dit la loi sur le congé en cas de décès d’un proche.

Comment est fixée la durée d’un congé pour décès d’un proche ?

Avant toute chose, il est important de préciser la situation professionnelle du salarié. S’il opère dans le secteur privé, tout dépend du lien de parenté. Un congé de 3 jours est accordé avec le décès d’un conjoint, d’un parent ou d’une fraternité. La durée peut aller jusqu’à 15 jours si le défunt n’est autre que l’enfant direct du salarié. Mais, si ce dernier a plus de 25 ans, la durée est limitée à 5 jours. Dans le secteur privé, les durées restent les mêmes, mais avec une offre de majoration de 2 jours. Pour plus d’informations sur le sujet, le mieux est de se rendre sur le site Commémoration.fr.

Quelles sont les formalités à suivre pour ce type de congé ?

Avec le décès d’un proche, le Code du travail donne droit à tout salarié d’exiger des jours de congé. Mais avant toute chose, une lettre doit être adressée à l’employeur avec l’avis de décès du défunt. Quoi qu’il en soit, il est nécessaire de venir en personne dans les locaux de travail pour informer la direction. C’est pour permettre à l’administration d’organiser les projets et les tâches durant l’absence du demandeur. Cela permet également d’informer tout le personnel de la tragédie.

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